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La fête du travail 2020 au sein du groupe Sodiat

Comme tous les ans, le 1er mai est un jour chômé et payé à Madagascar, comme c’est le cas dans de très nombreux pays du monde. Au sein du groupe Sodiat, ce fut une occasion pour le PDG Maminiaina Ravatomanga de rappeler à ses collaborateurs l’importance du travail et la culture du travail.

Petite histoire de la fête du travail

La fête du travail ne date pas d’hier, loin s’en faut. C’est depuis le XVIIIè siècle que cette fête est célébrée, afin de rendre hommage aux réalisations des travailleurs.

La date de célébration a beaucoup varié selon les époques. Même aujourd’hui, elle est différente selon les pays. Par exemple, l’Australie célèbre cette fête durant l’automne ou le printemps, sans date fixe. Au Canada et aux États-Unis, la fête du travail est célébrée en septembre.

À Madagascar comme dans de très nombreux pays, c’est le 1er mai que nous fêtons le travail et les travailleurs ! En réalité, cela coïncide avec la journée internationale des travailleurs, notamment la célébration de la victoire suite à la lutte des journées de huit heures.

Sodiat, fête ses trois décennies d’activité en 2020

2020 est une année à marquer d’une pierre blanche pour le groupe Sodiat. En effet, nous célébrons cette année notre trentenaire.

Dans son message, adressé à tous ses collaborateurs, le PDG Mamy Ravatomanga n’a pas manqué de souligner que si le groupe a tenu le cap malgré les conjonctures économiques et politiques qui se sont succédées, c’est surtout grâce à ses équipes.

Notre force, c’est le travail. Nous ne nous contentons pas de travailler, nous offrons le meilleur de nous-mêmes, chaque jour. Si Sodiat est aujourd’hui le groupe de la performance à Madagascar, c’est grâce à cette formidable volonté de faire et de bien faire.

Rétrospective de ces 30 années de performance

C’est en 1990 que l’aventure Sodiat commence. Tout d’abord dans le domaine des transports, avec Sodiat S.A et AutoDiffusion, puis dans le transit, avec l’avènement de Sodiatrans. Puis c’est au tour de la Polyclinique d’Ilafy de voir le jour en 1996, puis la chaîne audiovisuelle M3TV / FM en 1999.

L’activité du groupe Sodiat s’est diversifiée à compter des années 2000. Le groupe se lance dans le BTP et les travaux publics, le tourisme et l’hôtellerie de luxe, la presse écrite, la promotion des produits agricoles malagasy via l’import-export, etc.

Aujourd’hui, le groupe Sodiat comptabilise un peu moins d’une vingtaine d’entreprises à son actif. Il représente environ 5000 emplois à Madagascar et constitue l’un des principaux pivots de l’économie du pays. En somme, c’est un bel exemple  de réussite pour célébrer la fête du travail.

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Le groupe SODIAT, engagé dans la protection de l’environnement à Madagascar

Le groupe Sodiat a toujours affiché  son ambition d’être et de rester le groupe de la performance à Madagascar. Pourtant, la performance à elle seule ne peut s’inscrire dans le temps sans s’accompagner de mesures responsables. C’est dans ce contexte que les différentes entreprises du groupe Sodiat ont pris l’initiative d’agir en faveur de l’environnement à Madagascar. À l’occasion de la journée internationale des forêts du 21 mars de chaque année, nous vous proposons de découvrir les actions environnementales du groupe SODIAT au cours de ce premier trimestre 2020.

Agir pour l’environnement, c’est investir dans l’avenir

Pour toute entreprise et tout groupe qui veut perdurer sur la scène économique, il est impensable de ne penser qu’à l’instant présent. À l’image de nombreux pays dans le monde, Madagascar est plus que jamais concerné par le risque du dérèglement climatique. La Grande Île occupe d’ailleurs la huitième place mondiale des pays les plus vulnérable aux changements climatiques.

D’ailleurs, sa triste appellation « L’île rouge » est due à sa déforestation massive, qui n’est pas sans conséquences sur le climat et la biodiversité en général.

Si le groupe Sodiat s’est engagé dans une cause aussi noble que la protection de l’environnement, c’est tout d’abord pour garantir aux générations futures un avenir viable.

reboisement groupe SODIAT

Reverdir Madagascar, une priorité absolue

Le contexte actuel rappelle une citation de Winston CHURCHILL, qui disait « Ce n’est pas l’action qui m’inquiète, c’est l’inaction ». Pour le Président du groupe Sodiat, Maminiaina Ravatomanga : « Nous avons un devoir d’agir et faire preuve de mobilisation citoyenne pour lutter contre les changements climatiques. Les opérateurs économiques ont aussi un rôle à jouer, nous avons tous un rôle à jouer et je suis fier que les collaborateurs des filiales du groupe SODIAT s’engagent bénévolement pour des actions reboisement ».

L’irresponsabilité serait de penser qu’il est trop tard pour agir, et de se contenter d’observer les tristes événements se produire. Il est encore temps de renverser la situation et d’agir pour un monde meilleur.

Au cours de ce premier trimestre 2020, le groupe Sodiat a participé à près de 3 journées de reboisement. Après le lancement officiel de la campagne national de reboisement à Ankazobe, où le groupe Sodiat était représenté par ses collaborateurs, nous étions présent deux demies journées supplémentaires à Andakana. Sur la base du volontariat, ce sont à nouveau plusieurs centaines de collaborateurs qui se sont mobilisés à nos côtés. Alors que nos premières opérations de reboisement datent de 2018, nous avons également pu constater l’évolution des arbres fruitiers plantés il y a deux ans.  En tout, ce sont plus de 500 plants qui ont été repiqués.

L’objectif est clair : continuer cette lutte et reverdir Madagascar pour les prochaines décennies.

Entretenir l’existant

Bien évidemment, le groupe SODIAT ne se contente pas de participer à des journées de reboisement. Pour garantir à tous un environnement sain et viable, il convient également d’entretenir les espaces verts qui existent déjà.

Par exemple, le groupe s’est engagé à réhabiliter, à entretenir et à sécuriser le jardin d’Antanimena. Ainsi, les habitants de la capitale pourront profiter d’un espace vert en plein centre-ville, sans craindre l’insécurité ou l’insalubrité.

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Le journalisme à l’heure de la francophonie

Les gouvernements et les États membres de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) ont été au nombre de 88 en 2018. Un demi-siècle après la création de cette organisation, la francophonie tient toujours une place grandissante dans le monde. Et si, à l’occasion de la journée internationale de la francophonie, fêtée ce 21 mars, nous mettions en exergue le journalisme francophone à Madagascar ?

Chaque jour, une gymnastique intellectuelle

Le métier de journaliste francophone n’est pas des plus simples. Rappelons que le rôle premier du journaliste est de transmettre l’information et de se faire comprendre par les lecteurs. Tout journaliste francophone doit alors s’efforcer de jongler avec les subtilités de la langue de Molière pour informer de manière simple et efficace.

Au-delà des techniques journalistiques qui sont communes à tous les médias du monde, il faut donc considérer d’autres paramètres comme l’adaptation au contexte socio-culturel et intellectuel local.

Pour un journalisme moins sensationnel et davantage informatif

Fort heureusement, Madagascar est un pays où la francophonie a établi ses racines tôt dans les années 60, si bien qu’il est presque aussi naturel de s’exprimer et de se faire comprendre dans la langue française.

En tant que pays membre de l’Union de la Presse Francophone (UPF), Madagascar participe activement aux assises internationales organisées par ledit organisme. La plus récente édition s’est d’ailleurs tenue au Yaoundé en décembre 2019, dont le thème était « Journalisme d’émotion, journalisme d’information ? ».

Difficile de trouver un sujet qui colle mieux à l’actualité, dans une ère où les médias ont de plus en plus tendance à se laisser séduire par l’effet de buzz.

Rappelons que l’Union de la Presse Francophone organise ces assises annuelles pour réfléchir autour des sujets importants autour de la pratique du journalisme francophone.

journalisme francophonie francophone Madagascar groupe Sodiat

Le groupe SODIAT, pleinement engagé dans la presse francophone

Au sein du groupe Sodiat, cette journée internationale de la francophonie est d’une grande importance. Rappelons que notre groupe détient plusieurs sociétés de presse, et qu’il édite deux titres francophones :

  • Madagascar Matin, un hebdomadaire qui d’analyse et d’information, employant 12 journalistes francophones et imprimés à 7000 exemplaires.
  • La Vérité, un quotidien francophone qui traite de l’actualité politique à Madagascar, employant 10 journalistes francophones et imprimés à 12 000 exemplaires.

Nous félicitons ces équipes pour leurs efforts quotidiens, et nous les encourageons à toujours embrasser les valeurs-clés du journalisme, qui sont l’excellence et la droiture.

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Création de la fondation Sodiat

Le groupe Sodiat a toujours voulu contribuer, de près ou de loin, au soutien de ses compatriotes. Les actions menées par le groupe, sous la direction du PDG Ravatomanga, touchent bien des domaines :

  • l’environnement
  • l’entretien des espaces verts urbains
  • le secours des plus démunis en temps de catastrophes naturelles, etc.

Fondation Sodiat Groupe Sodiat

Fondation Sodiat : la concrétisation

La création de la Fondation Sodiat est un moyen d’officialiser cet engagement citoyen dont le groupe a fait preuve au cours de ses trois décennies d’existence.

Grâce à la Fondation Sodiat, il sera possible pour tout un chacun de contribuer à la construction d’un avenir meilleur pour Madagascar, notamment pour les générations futures.