L’avant-dernière manche du Championnat de Madagascar des rallyes s’est déroulée en fin de semaine dernière à Antsirabe. Au terme des trois jours, c’est l’équipage Auto Diffusion Frédéric – Mick qui sort vainqueur. Retour sur ce rallye intense !

Des conditions dantesques, malgré une organisation au top

À voir les images publiées par les organisateurs du rallye, on pouvait s’attendre à du beau spectacle et un rythme très élevé, tant les routes étaient bien terrassées. Sauf que dame pluie a décidé de s’en mêler, les équipages ont alors dû batailler avec les éléments dès les épreuves de reconnaissances. Les pistes ultra-roulantes sont alors devenues aussi boueuses que les ES de Grande-Bretagne.

Qu’à cela ne tienne ! C’est ce qui fait toute la beauté de ce sport : il faut accepter avec humilité les conditions que dame nature offre, et composer avec.

Le top 5 constamment dans un mouchoir de poche

Sans grande surprise, les ténors du plateau ont ravi le public du Vakinankaratra, réalisant de belles performances tout en assurant un spectacle haletant.

Au niveau des chronos, le top 5 s’est pratiquement maintenu sur les 3 jours, malgré les péripéties mécaniques des uns et des autres. À la fin de la première journée, Mick et Fafah finissaient en tête, avec un peu moins de 8 secondes d’avance sur Fred et Mick. Faniry et Mahents bouclaient le podium avec leur Peugeot 208 T16.

Au terme du deuxième jour, les frères Rasoamaromaka permutent leurs places : Mika cède la tête du rallye à son frère Faniry, tandis que Fred reste solide deuxième, 6,1 secondes derrière la 208.

Mathieu Andrianjafy, alors leader du championnat, trouvait le compromis idéal : rester en embuscade sans pour autant prendre tous les risques. Il avait raison, puisque les frères Rasoamaromaka ne courent pas la saison, et que Fred compte encore moins de points que lui au championnat.

Suspense et chamboulements

La troisième et dernière journée allait donc désigner les vainqueurs de ce rallye éprouvant. Et pourtant, les uns et les autres n’étaient pas épargnés par les ennuis mécaniques, sans compter les crevaisons. C’est Mika Rasoamaromaka qui perd le plus, à cause d’un souci de direction.

Les positions semblaient figées alors qu’on approchait de la fin de l’étape 3, quand soudain, coup de théâtre. Faniry et Mahents, alors détenteurs de 9 temps scratch, font une légère sortie de route dans l’épreuve spéciale numéro 15, l’avant-dernière. Équipage indemne, voiture en état de rouler, mais trop de temps perdu. It’s over, comme l’avait dit un certain Richard Burns il y a 20 ans passés, au WRC Safari Kenya. Ils abandonnent.

Deuxième victoire consécutive pour l’équipage Fred-Mick

Pour l’équipage Auto Diffusion, il ne restait alors plus qu’à finir la Power Stage pour s’assurer une victoire. Ils ont alors à leur compteur trois victoires cette saison, dont deux consécutives. [NDLR : Ils ont gagné le Rallye International de Madagascar au mois d’octobre].

C’est une victoire amplement méritée, quand on sait que cet équipage a réalisé 9 fois le deuxième chrono lors de ce rallye.

Deuxième place méritée également pour Mathieu et Andry Tahina qui ont gardé un rythme très élevé pour rester aux avant-postes du début à la fin de ce rallye très dur, sans pour autant prendre des risques inconsidérés.

Le podium est complété par Mika et Fafah, qui ont réussi l’exploit de ramener à bon port leur Peugeot 206 dont les ennuis mécaniques ont persisté.

Du sport il y avait, à ce Rallye Passion 2022

Un grand bravo à tous ces équipages qui ont dû donner le meilleur d’eux-mêmes pour être à l’arrivée de ce rallye. Tout était soumis à rude épreuve durant ce rallye : le mental, le physique et la mécanique.

Vraiment dommage pour tous ces équipages qui ont dû rendre leur carnet de bord, malgré leur persévérance et leur pugnacité ! C’est hélas la dure loi de ce sport.

Les félicitations sont également de rigueur pour le club TAC’s, qui a mené de main de maître cette belle organisation : timing, travaux de réfection des pistes, communication, etc.

Le compte à rebours est lancé. Le Championnat de Madagascar, rendez-vous ultime des golfeurs de la grande île aura lieu du 6 au 11 décembre 2022 au Golf du Rova Andakana.

6 grandes catégories primées

Lors de ce championnat de golf 2022, pas moins de six catégories seront primées. On y retrouvera les professionnels, où Johary Raveloarison s’est illustré durant l’édition 2021.

Il y aura aussi les amateurs hommes et les amateurs dames, les Seniors, les super seniors, sans oublier les juniors où le niveau est de plus en plus élevé chaque année.

De grandes pointures très attendues pour ce Championnat 2022

Dès les premières heures suivant sa victoire en 2021 dans la catégorie Amateurs Hommes, Tamby Rakotonjanahary a annoncé qu’il ne pourrait défendre son titre cette année, dans la mesure où il poursuit ses études à l’étranger. Plusieurs ténors vont alors prétendre au titre, pour ne citer que Kim Do Woo, Brett Coleman ou encore Luc Ratsimbazafy.

Chez les dames, ce sera certainement toujours aussi serré. Plusieurs prétendantes seront probablement au rendez-vous : Ghislaine Leroy, Monique Noyon, Hanitra Ratsimbazafy, Sahera Malard et bien d’autres encore…

Un événement mémorable, comme à son habitude

Tous les ans, le championnat de golf clôt la saison golfique. Et chaque année, c’est toujours un événement golfique de haut niveau, qui tient les spectateurs en haleine jusqu’au dernier trou. L’on se remémore avec plaisir le duel Akesson – Douessi en 2020, ou encore celui qui a opposé Noyon et Ratsimbazafy chez les dames en 2021, sans parler du trio Maverick – Ramarozatovo – Raveloarison chez les pros.

Les inscriptions sont ouvertes, rendez-vous est donné pour le 6 décembre au Golf du Rova Andakana !

 

Voilà maintenant 37 années que le mois d’octobre sert à la sensibilisation au cancer du sein dans le monde. En France, la campagne Octobre Rose est en place depuis 1994. Madagascar n’est pas en reste. La Polyclinique d’Ilafy a mené un certain nombre d’actions afin de sensibiliser sur l’importance du dépistage, ainsi que sur l’urgence dont font état les statistiques autour de ce cancer.

Le service Oncologie – Radiothérapie de la Polyclinique sensibilise sur l’autopalpation pour Octobre Rose

Le 24 octobre, dans le cadre de la campagne Octobre Rose, les responsables du pôle oncologie et radiothérapie de la Polyclinique d’Ilafy ont ouvert leurs portes au grand public ainsi qu’au personnel de la Polyclinique. L’objectif était de parler du cancer du sein et des différents moyens de lutter contre.

Au programme, l’explication et la mise en pratique de l’autopalpation, la première étape du dépistage du cancer du sein. Le Dr Khelif l’a bien martelé : « ça doit être une habitude chez la femme de procéder à cette autopalpation, à partir de l’âge de 30 ans. C’est gratuit et c’est simple à faire ».

L’assistance en a d’ailleurs profité pour poser les questions qui les tracassent au quotidien, questions auxquelles les médecins de la Polyclinique ont répondu avec grand plaisir.

Plus le cancer est dépisté tôt, plus il sera facile à guérir

Tout l’intérêt des campagnes de sensibilisation comme Octobre Rose est de mettre les femmes face à la réalité : le cancer est un dévastateur. Mais s’il est diagnostiqué tôt, la guérison est facile, tant sur le plan physique que sur le plan financier.

En sachant qu’une femme sur dix risque d’être concernée par le cancer au cours de sa vie, il est indispensable de sensibiliser le maximum de personnes au sujet du dépistage. Cela commence par l’autopalpation, en passant par des moyens plus poussés comme l’examen clinique, la mammographie ou encore l’échographie.

 La Polyclinique d’Ilafy et la Fondation BOA, mobilisées pour la sensibilisation et le dépistage

La Polyclinique d’Ilafy n’a pas attendu le mois d’octobre pour enclencher la lutte contre le cancer du sein. Depuis le mois de février 2022, un partenariat avec la Fondation BOA a été signé afin de renforcer les actions menées dans cette lutte.

Voilà donc neuf mois que la Polyclinique d’Ilafy procède au dépistage des femmes salariées au sein de la Bank Of Africa à Madagascar.

Mais l’action ne se limite pas à la BOA. Fidèle à son engagement auprès de la Commune Ilafy, la Polyclinique et la Fondation Sodiat n’ont pas hésité à élargir l’impact de cette lutte contre le cancer du sein.

Ainsi, toutes les femmes au sein de la commune Ilafy et du Fokontany Ankadikely Ilafy peuvent se faire dépister gratuitement au sein de la Polyclinique.

La résilience d’un groupe à travers la maîtrise des coûts

Lorsqu’une entreprise se diversifie, ses actifs et ses passifs gonflent au fur et à mesure et ses activités s’étendent vers de nouveaux marchés.

Pour le groupe SODIAT, une maîtrise des coûts de production, adaptés à diverse secteurs d’activité, lui permet de tirer des avantages sur le plan stratégique et opérationnel.

Sur le plan stratégique, maîtriser les coûts revient à maîtriser combien l’entreprise est prête à investir. Cela implique une prise de responsabilité de ses fonds et une capacité d’adaptation en cas de changement de la demande. Sur le plan opérationnel, cela le rend plus stratégique sur les besoins de sa clientèle et permet ainsi de les satisfaire.

La synergie, vectrice de performance

En investissant dans des secteurs clés comme la santé, le transport, l’agriculture, la construction ou encore l’immobilier, le groupe se targue de posséder un éventail de possibilité pour réaliser les meilleurs résultats.

Cela exige un capital humain conséquent et des ressources technologiques. Le fonctionnement du groupe est un mécanisme aux engrenages bien huilés qui ne laisse place aux possibles dérèglements.

De l’Itasy, en passant par Antsirabe, Antananarivo, Toamasina et Mahajanga, les activités du groupe s’étendent sur un large plan géographique. Cette diversité et cette pluralité permet au groupe d’amortir efficacement ses charges en proposant toujours plus de service à ses clients. Une telle stratégie accroît son efficacité et lui permet d’avoir des avantages sur ses concurrents sur le long terme.

D’où le slogan « La performance d’un groupe »

Cette année encore, la Polyclinique d’Ilafy honore son rendez-vous annuel avec la population de la commune d’Ankadikely. Il s’agit du « didim-poitra faobe » que la Polyclinique a organisé ce 30 juillet.

Une action en signe de redevabilité

Chaque année, la Polyclinique d’Ilafy organise une circoncision de masse pour la population d’Ankadikely. Cette action existe depuis presque 10 ans maintenant.

C’est par ce biais que la Polyclinique a choisi de contribuer au développement de la commune où elle est localisée. C’est également le moyen de montrer la redevabilité de la Polyclinique envers la commune d’Ankadikely.

La circoncision tient une part importante dans la culture Malagasy. L’enfant devient un homme et s’intègre dans la famille quand il est circoncis. Il est donc important pour une famille de procéder à la circoncision de leur fils.

Une action au service de la santé de ses bénéficiaires

Pourtant, une circoncision n’est pas toujours à la portée des plus démunis. Notamment une circoncision sécurisée, avec une assistance médicale et un environnement stérile.

Il est a rappeler que lors de cette action, la Polyclinique d’Ilafy prend en charge la circoncision en totalité. Entre autres, il y a l’opération à proprement parler, le matériel utilisé ainsi que les jouets à distribuer aux jeunes enfants qui seront circoncis.

Au-delà de l’aspect symbolique que la circoncision tient, il est important de souligner que la circoncision aide à protéger l’homme. En effet, une fois à l’âge adulte, l’homme sera protégé de certaines maladies sexuellement transmissibles.

70 enfants venus au rendez-vous

L’action menée de concert par la Polyclinique d’Ilafy et la Commune Rurale d’Ankadikely n’a pas été vaine. 70 familles sont venues circoncire leurs enfants.

À en croire les parents interviewés sur place, c’est une véritable aubaine pour les habitants de cette commune, car ils peuvent profiter gratuitement d’une intervention aux normes et donc sans risque.

Le Président Directeur Général Maminiaina Ravatomanga l’a dit plus d’une fois, ce sont les collaborateurs qui constituent l’entreprise. Dans ce contexte, il n’est pas étonnant que la sécurité au travail soit une réelle priorité pour le Groupe Sodiat.

Safety First

C’est une règle immuable et que tous devraient appliquer, que ce soit dans le monde professionnel ou dans la vie de tous les jours. La sécurité doit primer sur tous les autres paramètres, afin de garantir la pérennité des activités.

Les entreprises du Groupe Sodiat l’ont bien compris, tant les secteurs d’activités où elles interviennent sont délicates : transport routier, transport aérien, transit, exportation, génie civil et BTP, santé et bien d’autres encore.

La formation dispensée aux différentes entreprises du groupe tombait donc à point nommé, pour renforcer tous ces principes déjà acquis.

Les entreprises dans le secteur du transport particulièrement ciblées

La formation « zéro accident, zéro incident » s’adressait principalement aux collaborateurs du groupe, qui doivent prendre le volant.

Il peut s’agir des professionnels du transport routier, à travers Sodiat S.A. Mais cela concerne aussi les salariés qui prennent le volant des voitures de fonction ou des voitures de service au sein du groupe.

Les grandes lignes de la conduite défensive ont été abordées, ainsi que les procédures relatives au tracking des véhicules, sans oublier la maîtrise des coûts.

Pour rappel, tous les intervenants des services de transport du Groupe Sodiat sont soumis à des tests d’alcoolémie avant de prendre la route.

Efficience et efficacité, également à l’ordre du jour

La formation du 27 juillet n’a pas porté que sur la sécurité routière, mais aussi sur le management de la qualité. Les collaborateurs du Groupe Sodiat ont été invités à travailler leur efficacité et leur efficience, autour de 4 principaux axes : les clients (internes ou externes), les collaborateurs, les partenaires ainsi que les investisseurs.

Risques financiers, performance économique, relations partenaires ou encore transfert et développement de compétences ont été à l’honneur lors de cette formation.

Au cours des 30 dernières années, le groupe Sodiat n’a pas cessé de s’élargir et de croître en termes de capital humain. Cette entreprise qui a commencé avec 4 collaborateurs compte aujourd’hui près de 4 000 employés. Et ce nombre ne cesse d’aller crescendo avec le temps.

La RSE au cœur de nos préoccupations, toujours crescendo

Pour une entreprise, générer de la valeur ajoutée en interne est une chose importante. Mais rien de cela n’est possible sans le travail acharné de ces individus qui fourmillent en coulisses.

Pour le groupe Sodiat, il s’agit de 4 000 petites mains qui œuvrent pour le bien de l’entreprise. Il s’agit d’un nombre non-négligeable, surtout pour une entreprise qui se targue d’offrir du travail aux Malagasy.

Employer 4 000 personnes revient à assurer les besoins de 4 000 foyers. Cela signifie que le nombre d’individus qui bénéficient des bienfaits d’une source de revenus s’élève à bien plus que 4 000. Et c’est en cela que l’on mesure la force d’une entreprise.

Avec la construction de complexe hôtelier au golf d’Andakana et des villas de luxe sur les hauteurs d’Ambohibao, le groupe Sodiat entend multiplier les embauches. Ainsi, plusieurs Malagasy pourront bénéficier d’un emploi et plusieurs familles verront leur source de revenus s’accroître.

Le développement, tributaire de l’esprit d’entreprise

La création d’entreprise et l’entrepreneuriat en lui-même permettent de faire vivre l’économie d’un pays par sa capacité à apporter de l’innovation. La recherche de cible, le besoin de répondre aux nouvelles demandes de la société est une motivation qui pousse vers la recherche d’idées innovantes. En cela, le marché ne stagne pas et ne propose pas d’offre obsolète.

Pour l’entrepreneur, le choix de se lancer dans cette aventure qu’est l’entrepreneuriat, c’est dépasser les limites de ce qu’il pensait possible. C’est repousser les limites et explorer le champ des possibles. C’est la satisfaction de contribuer à son échelle au développement de son pays et participer à la création d’emplois pour ses compatriotes.

C’est en cela que l’entrepreneuriat est d’une importance capitale pour l’économie d’un pays. Et c’est en cela que le groupe Sodiat impacte positivement la vie de nombreux Malagasy.

À l’occasion de la journée internationale Nelson Mandela, nous consacrons un billet à ce grand Homme qui a tant fait pour l’humanité, en partageant avec vous quelques-unes de ses citations. En effet, difficile de passer à côté du précieux héritage qu’il nous a laissé : la culture de la paix et de la tolérance.

Aucun de nous, en agissant seul, ne peut atteindre le succès

Nous avons tous besoin des autres, si tant est que nous voulons construire quelque chose de pérenne. Même devant nos différences et nos idées diamétralement opposées, c’est grâce à l’entraide que nous pouvons changer les choses.

Nelson Mandela a traversé bien des épreuves, au cours de sa vie. Après avoir connu le drame familial, la prison et autres ignominies tout au long de son combat contre l’apartheid, il prône la réconciliation lorsqu’arrive la victoire. Il refuse de pourchasser toutes ces personnes qui lui ont fait vivre tant d’horreurs. Selon lui, nous ne pouvons agir seul dans la vie, nous avons toujours besoin des autres, même de nos ennemis.

C’est là un grand exemple de tolérance et de fraternité, que le Groupe Sodiat veut instaurer par le biais de la Fondation Sodiat. « Tsy misy manana ny ampy, fa sambatra izay mifanampy ».

Ce qui compte, ce ne sont pas les individus mais le collectif

Le slogan du groupe n’a pas été choisi à la légère. Notre Président Directeur Général, Monsieur Mamy Ravatomanga, est intimement convaincu que c’est par la synergie des compétences, des idées et des projets que l’on peut atteindre et pérenniser la performance.

Le Groupe Sodiat, c’est avant tout une aventure humaine. Le choix des collaborateurs se fait avant tout sur des bases claires : la vision, l’engagement et la rigueur.

La pauvreté n’est pas naturelle. Elle est créée par l’homme et peut être surmontée et éradiquée par les actions des êtres humains

Nous pouvons tous agir, pour venir à bout de la pauvreté. Agissons chacun à notre propre niveau, en commençant par des choses simples : respecter la nature et l’environnement, respecter les autres et développer la culture du travail.

Au sein du Groupe Sodiat, nous rejoignons la vision d’Andrianampoinimerina, qui donnait des bèches au lieu de distribuer des vivres aux démunis.

Nous créons autant d’emplois que possible, car le Travail c’est la Vie !

La maintenance pétrolière et le BTP font partie des secteurs d’activité dans lesquels le Groupe Sodiat a voulu s’investir activement. Construire le futur tout en construisant dans la durée, voilà le leitmotiv de cette entreprise fondée en 2002 : MMP-BTP.

MMP-BTP, une entreprise qui mise sur la fiabilité

Pour durer, les infrastructures ont besoin de répondre à des normes très strictes. Le respect des standards de qualité, de sécurité et de fiabilité a toujours été un impératif pour MMP-BTP, tout au long de la réalisation de ses projets de construction.

La société s’appuie sur des compétences en interne, pour assurer les maillons essentiels et indispensables tels que le cabinet d’étude ou l’architecture. Cela permet de créer toujours davantage d’emplois, tout en s’assurant de la fiabilité des projets.

Du génie civil au BTP

MMP-BTP intervient dans plusieurs projets, tous aussi délicats et d’envergure. Parmi ses réalisations, on peut citer en exemple le Coliseum d’Antsonjombe, un marché obtenu au mieux-disant par voie d’appel d’offres.

MMP-BTP revendique aussi des marchés comme celui de Galana, notamment le pipeline qui relie la raffinerie au port de Toamasina.

Mais cette entreprise se démarque surtout par son expertise dans la logistique pétrolière : les cuves de stockage et les dépôts pétroliers, les citernes de transport d’hydrocarbures, etc.

Des projets toujours plus ambitieux

Vingt années après sa création, la société MMP-BTP continue sur sa lancée et se voit confier des projets d’envergure, comme le complexe hôtelier en cours de construction au Golf du Rova Andakana, ou encore les villas de luxe sur les hauteurs d’Ambohibao.

Tous les ans, l’entreprise MMP-BTP voit le nombre de ses collaborateurs augmenter, que ce soit les salariés fixes ou les contractuels.

La Polyclinique Ilafy ouvre de nouveau ses portes aux professionnels de la santé de Madagascar. Après les médecins de l’HJRA, c’est au tour des médecins de l’hôpital militaire de Soavinandriana de faire une visite du pôle imagerie et du service de lithotritie.

Retour sur la porte ouverte de la Polyclinique d’Ilafy

La Polyclinique d’Ilafy cherche à rassembler les acteurs de la santé à Madagascar. L’objectif est de mettre en commun les connaissances de ces derniers. L’objectif est d’offrir un service plus performant aux Malagasy.

À titre de rappel, la Polyclinique d’Ilafy a accueilli des médecins de l’HJRA le 27 mai dernier afin de présenter son pôle imagerie ainsi que son service de lithotritie. De nombreuses personnalités du monde médical avaient répondu à l’appel.

On comptait parmi les participants, Eric Andrianasolo, le président de l’Ordre des médecins,  ainsi que le professeur Ahmad Ahmad, ancien ministre de la Santé.

La lithotritie, une innovation pour les malades Malagasy

La Polyclinique d’Ilafy a pour ambition d’être à la pointe de la technologie en termes d’appareils médicaux. Le but est de permettre aux Malagasy de se soigner sans avoir à se déplacer dans d’autres pays. Ce 1^er juillet, l’accent a été mis sur le service de lithotritie, plus précisément la lithotritie extra-corporelle.

Le docteur Ismaël Andriatahina, chirurgien-urologue de la Polyclinique, a eu le plaisir de faire connaître le lithotriteur. Il s’agit d’un appareil dont dispose la Polyclinique d’Ilafy afin de détruire les calculs. Il peut s’agir de calculs rénaux ou les calculs urétéraux pour les hommes. Et cela ne nécessite pas une intervention chirurgicale lourde.

Les capacités du lithotriteur

Cet appareil permet de détruire les calculs rénaux de moins de 2 centimètres et les calculs urétéraux de moins de 1 centimètre. Il faudra compter 2 à 3 séances de lithotritie pour venir à bout d’un calcul. Et entre chaque séance s’écoulera un délai de 2 à 3 semaines.

Le service de lithotritie travaille en collaboration avec le pôle imagerie, car il est nécessaire de déterminer la densité du calcul à détruire grâce à une radio. S’il est trop dense, il est impossible de le supprimer par le biais de la lithotritie.

Au cours de l’année passée, de nombreux patients ont pu bénéficier des biens-faits de la lithotritie extra-corporelle.

Et à travers ces sessions de porte ouverte et de découverte des services de la Polyclinique comme le service lithotritie, plus de soignants vont pouvoir recommander à leurs patients un traitement non invasif pour leurs calculs rénaux ou urétéraux.

Tout cela va permettre aux Malagasy une meilleure connaissance des soins auxquels ils ont accès à Madagascar.